« Le festival a organisé une représentation de mon solo de danse, Satisfaction Index, au Théâtre REPS. La représentation fut très bien reçue par le public. Le lendemain j’ai donné un cours à de jeunes étudiants de danse au Ballet National à Avondale. J’ai passé le reste de mon séjour à nouer des contacts avec divers artistes venant d’autres parties du continent en vue de futures collaborations.
Le point fort de mon séjour fut la présentation à HIFA et l’opportunité de voir Tumbuka, une célèbre troupe de danse zimbabwéenne. Mon succès a été le développement de mon travail suite à cette troisième représentation. La leçon que j’ai tirée de cette expérience a été de surmonter les défis administratifs de la production. »
Année : 2015
Profile : Danseur
Sexe : F
Projet:
Jacqueline Maanyapelo s’est rendue du Cap (Afrique du Sud) à Harare (Zimbabwe) afin de participer au 10e festival international des arts de Harare (HIFA), qui a eu lieu entre le 28 avril et le 3 mai 2015.
Danseuse et actrice, Jackie Maanyapelo est la directrice artistique du centre Jazzart Dance Theatre au Cap. En tant que soloiste et que chorégraphe, elle cherche à créer des œuvres à portée critique et susceptibles d’inspirer le public à adopter une perspective transcendentale vis-à-vis du soi et de la société.
Le festival international des arts de Harare (HIFA) est un festival mutlidisciplinaire qui a pour objectif de renforcer le rôle des arts comme moteur de développement social. Jackie Maanyapelo y présentera le premier numéro solo de danse contemporaine qu’elle a composée depuis le début de son mandat de directrice artistique du Jazzart Theatre. Le numéro, intitulé Satisfaction Index, met en lumière la beauté qui subsiste parmi la violence, la division et la pauvreté qui caractérisent les sociétés contemporaines. En s’inspirant de l’indice de satisfaction mondial, le numéro cherche à inspirer le public à apprécier les vertus de l’humanité.
Session
May
Type de projet
Festival/biennale/foire
Départ: Le Cap, Afrique du Sud
Destination : Harare, Zimbabwe